Review of the judgment in joined cases C-37/20 and C-601/20 ---- Retour sur l’arrêt dans les affaires jointes C-37/20 et C-601/20
Paul Egan SC
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With all due respect to the judges of the ECJ, this statement seeking to comfort journalists cannot undo the harm the ECJ has done. It is a gift to money launderers and their credulous allies who advocate a culture of secrecy of information. The ability of journalists to access this information is couched in terms that those that “are connected with the prevention and combating of money laundering and terrorist financing have a legitimate interest in accessing information on beneficial ownership”. What about the legitimate public interest in knowing the individuals who might be profiting from significant State contracts? What about reporting on matters of public interest such as conflicts of interest in major companies? The judgment opens the opportunity to those who may try to intimidate those who might seek and publish their information. A libel suit or a judicial review is but one disclosure away. As a start, we need to look at immunity from legal liability for those who disclose beneficial ownership of limited companies. John Devitt Transparency International colm keena Catherine Sanz Francesca Comyn #gdprexcess
Une image sur Lindekin et rien sur votre site web (communiqué de presse), c'est étrange comme façon de communiquer. Sur le fond votre excuse ne change rien au fait que vous avez mis à mal la transparence et la lutte contre le blanchiment. Autant je regarde ce type de fichier lorsqu'il est ouvert, autant je ne vais pas quémander l'accès à une autorité qui m'enverra promener arguant que certes je suis chercheur, mais pas dans la bonne discipline ou je ne sais quoi.
Will B. J.
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An oversight to lock out publicly-interested business. Take, for instance, investigators. The ECJ has taken far too narrow, dated a view in merely considering AML under AML5D. While correct to grant access to journalists and civil society, this access should also include broader anti-corruption and integrity investigation in the public interest beyond process-driven AML compliance. Whether tracking down fraudulently acquired and secreted assets or doing investigative due diligence, the private sector does this for a fee to keep business honest. Here's to hoping this is remedied as debate on the decision continues.
Very interesting. We hade there the theme of a prime minister beeing a beneficial owner of an endowment fund including a very big company somewhere in the EU. Would a sole citizen of such state as a voter be able to perform such a legitimate interest? Would a citizen of another EU state be able to demonstrate such a legitimate interest in such a case if the company of such of course fictive prime minister would aply for EU funds?
Ce communiqué est vraiment malhonnête. La CJUE n"assume pas cette décision qui dans les faits va couler le registre pour plusieurs années et instaurer des usines à gaz pour vérifier la qualité des personnes consultants les registres. Il serait temps que la Cour pense aux intérêts des citoyens européens.
Et on attend avec impatience l’application de la technologie du blockchain dit du registre partagé aux registres nationaux des BE, ça va mettre tout le monde sur un pied d’égalité dans les accès à l’information. Plus de biais ni d’asymétrie d’information
Tom de Gans
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Can this review be found on the website of the Court? Is this this the Court or only DG Communications of the Court?
Will this review be available on the website of ECJ?
Good and commendable
Independent consultant in Financial Crime-Anti Money Laundering, Combating Financing Terrorism (AML/CFT), Sanctions
1yQuelle autorité va décider que telle ou telle personne, association, organisation de la société civile a un intérêt légitime à accéder à l’information des registres de BE ? Et sur quels critères ? Ces critères sont ils normés, identifiés dans un instrument juridique? Dans une liste ? Cet instrument juridique sera t il défini dans un règlement européen ou laisse t on le soin à chaque EM de se doter de son propre règlement?On voit très vite poindre l’approche discrétionnaire et l’arbitraire d’une telle sélection et le parti que pourra en tirer les exécutifs des EM de l’UE lorsqu’ils seront désireux de protéger des intérêts particuliers. Corruption, trafic d’influence, favoritisme, clientélisme, abus ou détournement de pouvoirs existent également en Europe… Ne nous y trompons pas, il s’agit bel et bien d’un recul dans la transparence et la LCBFT. La force de l’accès à ces registres par la société civile c’est précisément de disposer d’un outil qui dissuade les organisations criminelles d’utiliser les personnes morales et les constructions juridiques pour dissimuler leurs opérations de BC-FT dès l’instant où la détention de leurs intérêts sera rendue publique dans un registre légal